*Note: Ce texte contient certaines parties qui pourraient vous ébranler. Il contient également certaines informations qui peuvent vous apparaître violentes.
« Toute mort est un mystère, parce que toute vie est un mystère. »
De Jean D’Ormesson
Comme ce précepte nous l’explique si bien, la vie est un mystère et se poursuit même après que l’âme ait « quitté le corps d’une personne ». Bien que la vie soit un mystère, certaines personnes mènent des vies remplies de secrets d’État. C’est le cas pour la famille Romanov, la dernière famille impériale de Russie. Toutefois, leur vie n’est pas la plus grande « source » de mystères… En effet, c’est leur mort qui intrigue la plupart des historiens depuis un siècle.
Les Romanov
Premièrement, il faut savoir que la famille des Romanov était constituée de cinq enfants, dont les duchesses Olga, Tatiana, Maria, Anastasia Nikolaïevna et le tsarévitch Alexis Nikolaïevitch atteint de la maladie de l’hémophilie. De plus, on y retrouve le tsar Nicolas ll de Russie et son épouse Alexandra Fiodorovna Romanova, une princesse allemande.
Selon l’histoire officielle, toute cette partie de la famille impériale serait morte dans la nuit du 16 juillet 1918.
D’un tout autre côté, certaines hypothèses évoquent la mort du tsar, mais non celle de ses enfants ou encore la survie de sa fille cadette, Anastasia.
Sur quels faits devons-nous nous appuyer? Ce pourrait-il que certains membres aient pu échapper au massacre?
Que leur est-il vraiment arrivé lors de cette journée épouvantable?
C’est ce que nous approfondirons dans cet article.
Le début de la révolte bolchévique
En premier lieu, la révolte bolchévique est un soulèvement en Russie qui a commencé lors de la Première Guerre mondiale. Les habitants voulaient détruire la hiérarchie de la famille Romanov pour la remplacer par un système démocratique. Ils aimaient la famille impériale, là n’était pas le problème. En fait, le tsar s’était plus occupé de sa femme et de son fils Alexis au lieu d’être présent en tant que roi comme il en avait le devoir. Dès le début, il n’était pas prédisposé à prendre le relais de son père. Effectivement, à 26 ans, il est inexpérimenté et les affaires de l’État l’ennuient légèrement. Il a pour unique projet d’être le maître absolu de ses terres.
Plusieurs politiciens croient que la plus grande erreur du tsar se résume à ses choix politiques. En effet, il avait pris la tête de l’armée. Cette décision fit en sorte qu’elle fut totalement désorganisée, laissant alors les responsabilités du gouvernement politique à sa femme, influencée négativement par Grigori Raspoutine. Tout cela provoqua plusieurs révoltes (sous forme de réformes constitutionnelles) et finalement, presque tous furent pris en otage ou assassinés. Les survivants s’enfuirent principalement en Europe. Le sort de la famille des Romanov principale fut plus long et cruel.
En effet, ils furent prisonniers de leur propre demeure pendant un certain temps, puis ils furent transférés dans leur villa Epiatief à Lekaterinbourg. Par la suite, ils auraient été malmenés par les meneurs de la révolte bolchévique pour enfin aboutir à la fatidique nuit du 16 au 17 (le 17 à 3:15 du matin) juillet 1918.
Lorsqu’on leur demanda seulement de s’habiller et de descendre au sous-sol, la famille Romanov le fit sans protester, ne sachant pas que leur destin allait basculer dans l’heure qui venait.
C’est à partir de ce moment précis que le mystère commence…
Hypothèse #1: L’histoire officielle
Avant tout, relevons certains détails qui ont permis aux historiens et politiciens de l’époque et d’aujourd’hui de favoriser cette thèse.
Premièrement, des spécialistes ont trouvé un journal intime de la reine Alix (surnom d’Alexandra Fiodorovna) qui raconte en détail chaque heure de leur période d’emprisonnement. C’est de cette façon que personne ne peut nier ce qui s’est passé avant leur mort et que l’on sait la date précise de leur mort.
Par contre, nous ne savons pas si la famille est morte au grand complet, car il se pourrait seulement que la reine fût privée de son journal d’une façon ou d’une autre.
Mais faisons comme si la version officielle n’avait aucune faille.
La famille se serait donc rendue dans les sous-sols et aurait été enfermée dans une pièce de 20 mètres carrés. Par la suite, des soldats les auraient fusillés. Le petit Alexis, protégé par son père aurait survécu un peu plus longtemps ainsi que les princesses qui auraient été protégées par les bijoux qu’elles avaient cousus à leurs vêtements. Ensuite, ils auraient caché les corps dans une grotte où on leur mit de l’acide sulfurique sur leur visage. Par la suite, on les brûla.
Certains spécialistes pensent même qu’ils auraient encore été transférés, puis cachés sous une route forestière. Ils auraient par la suite encore brûlé Alexis et sa sœur Marie.
Désormais, vous connaissez la version la plus simple, celle qui est officielle. Mais dans celle-ci, plusieurs failles sont belles et bien présentes. Par exemple, le plus grand mystère serait que ce ne sont pas tous les corps (leurs os) qui ont été retrouvés au même endroit, contrairement à ce que nous explique la version généralement reconnue.
Hypothèse #2: Anastasia, échappée
Il faut absolument comprendre que toute la famille se volatilisa à partir de cette journée de juillet 1918 aux yeux de la population.
Le mystère d’Anastasia débute à Berlin en hiver 1920. Une jeune femme habillée légèrement sauta d’un pont dans les eaux glaciales d’un fleuve. Elle fut sauvée juste à temps et emmenée en vitesse dans un hôpital.
« On ne sait pas qui elle est, elle n’a pas de papiers. Quand on lui demande son identité, elle refuse de donner son identité. Elle ne dit rien, elle parle très mal allemand, elle a un fort accent slave et quand les policiers insistent et demandent qui elle est, elle répond: « mais si vous saviez qui je suis, je ne serais pas ici ». Une historienne, Agnès Michaud, relate ce fait dans un documentaire de la série Secrets d’histoire.
C’est la réponse de cette dame qui a inquiété les autorités puis plusieurs autres personnes. C’est à partir de cette réponse qu’une fois de plus, le mystère commence…
Cette personne intrigante fut amenée à l’asile. Au début de son séjour là-bas, elle ne répondait pas aux nombreuses questions concernant ses informations personnelles. Plus tard, sa voisine de lit l’a reconnue après avoir feuilleté un journal contenant des images de la famille impériale. Elle affirme que l’inconnue possède les mêmes traits qu’Anastasia. Ce n’est que vraiment plus tard – plusieurs mois après cette révélation -, qu’elle a consenti à s’identifier…
Elle donne raison à sa voisine en prétendant être Anastasia, la fille cadette de la famille Romanov.
De ce fait, elle a commencé de plus en plus à susciter l’attention de son entourage.
L’élément le plus perturbant de cette situation est le fait qu’elle connaisse des secrets que seuls les membres de la famille impériale auraient pu détenir. Elle raconte avec beaucoup de détails les déplacements des troupes de front ou bien les réunions politiques importantes et connaît très bien la vie de la princesse.
Ce sont surtout ces éléments qui sèment le doute et qui favorisent la thèse que la plus jeune duchesse ait survécu au massacre.
De plus, elle aurait eu plusieurs similitudes physiques hors du commun qu’aurait la réelle Anastasia. Par exemple, elle a la même déformation à son pied ou bien d’étranges blessures qui auraient très bien pu être le résultat des attaques durant la révolution bolchévique, notamment de grosses cicatrices à la nuque, au pied, à la poitrine et au bras. Ces marques auraient été causées par des couteaux ou des baïonnettes. Elles avaient aussi plusieurs lacérations.
Dans les années 1920, des photos d’elle furent prises et envoyées à des membres survivants de la lignée des tsars et à des personnes qui l’avaient connue. Les enfants du docteur Bodkin, celui qui était aux soins de la famille (lui-même assassiné avec la famille), affirmèrent, sans aucun doute, que l’inconnue était Anastasia… Cette révélation est troublante, puisque les deux enfants étaient vraiment très proches des héritiers à la couronne.
D’un autre côté, la prétendue Anastasia rencontre un jour ses deux tantes en Allemagne. Elles l’embrassent avant d’affirmer que ce n’est finalement pas elle…
Ces événements contradictoires commencent à être louches. Plus tard, beaucoup de gens la reconnaissent et se mettent dans son camp, tandis que d’autres l’accusent à l’imposture et partent en guerre avec la « fausse Anastasia », mais durant toute sa vie, elle a prétendu être Anastasia.
Plusieurs pensent que c’est une guerre feinte, que tous ceux qui sont contre elle savent que c’est elle… En effet, à la place de garder leur calme, ils l’insultaient avec une sorte « d’excitation » … Ce sont surtout leurs réactions exagérées qui renforcent la thèse que c’est la vraie Anastasia.
Parce que, pourquoi réagiraient-ils de cette façon si ce n’était pas la vraie?
Voulaient-ils la protéger en la rejetant ?
Comme preuve de sa véritable identité, la « fausse » Anastasia décida de révéler un secret d’État que seuls les Romanov et le frère de la tsarine Alexandra pouvaient détenir. En effet, elle révéla qu’au Noël 1916, juste avant la révolution, le prince Ernest-Louis de Hesse était venu les voir en pleine guerre contre l’Allemagne. Elle affirme qu’elle se souvient avoir embrassé « oncle Erni ». Cette révélation perturbe beaucoup les opinions des politiciens. Effectivement, si le témoignage d’Anastasia se trouve à être véridique, ce serait un grand scandale politique, parce que cela pourrait signifier que le tsar aurait reçu l’ennemi pour négocier, donc une haute trahison… Comme cet événement aurait poussé à la controverse, il aurait alors été soigneusement caché de tous…
La question qui se pose donc: Comment une étrangère aurait pu en savoir autant sur la mystérieuse venue du prince de Hesse?
Selon la dernière histoire officielle, toute la famille aurait été assassinée. Toutefois, la première version des bolcheviks prétendait que le tsar avait été exécuté, mais que la reine et ses enfants auraient été mis en lieu sûr et qu’ils auraient été libérés quelque temps après. En effet, plusieurs ministres et présidents, notamment Grigori Zinoviev et Lev Kamenev, affirmaient que le roi aurait été exécuté, mais que le reste de la famille a survécu et qu’ils ne savent pas où elle se trouve.
Cette Anastasia aurait donc peut-être pu être la vraie.
Pourtant, des scientifiques ont retrouvé les corps de la majorité de la famille impériale et auraient par la suite découvert deux autres corps, ceux d’Anastasia et de son frère Alexis. Les tests ADN ont été faits à partir d’une personne de la famille et ont conclu que la fausse Anastasia n’était pas la vraie…
Cependant, Michel Martel (entre autres) affirme dans de nombreux ouvrages que nous ne pouvons pas se fier aux tests ADN. Franziska Schanzkowska était une ouvrière polonaise qui prétendait être la fameuse Anastasia. L’argument de monsieur Martel est que si elle avait été un imposteur, elle ne serait pas devenue la marraine d’un prince et n’aurait pas été reconnue comme la sœur cadette des Romanov.
Comme autre preuve que la fausse Anastasia l’est vraiment, ses oreilles ainsi que son nez n’étaient pas identiques. Sans oublier que le test ADN de Franziska avait aussi démontré que celui de son neveu était similaire. De surcroît, les tests ont aussi été faits avec le prince Buckingham et ont démontré qu’à 99,99% que Franziska n’était pas de la famille impériale.
Donc pour la plupart, l’affaire est close et pour d’autres, elle reste en suspens.
Mais cela implique aussi que presque tout le reste de la famille aurait survécu également au massacre…
Mais que seraient-ils devenus?
Hypothèse #3: La famille a survécu sauf le tsar
Si nous partons de cette thèse, de nombreuses questions se posent et celles-ci pourraient tout changer…
En effet, les raisons pour lesquelles les manifestants bolcheviks, généralement peu cléments, auraient épargné le reste de la famille demeurent obscures. D’un autre côté, quelques indices nous portent à croire que le beau-frère d’Alix, Guillaume ll, aurait posé des conditions lors de l’accord passé à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Il aurait en effet insisté pour libérer la reine et ses enfants…
Il en avait le droit, car à cette époque, leur sort n’était pas encore fixé.
À la suite de cet événement, plusieurs historiens ont pensé que le parrain d’une des grandes duchesses aurait voulu épargner les filles pour ne pas « marcher à Moscou ».
Sans oublier qu’il existe plusieurs raisons de ne pas vouloir faire un procès en bonne et due forme. Premièrement, les révolutionnaires ne voulaient pas en faire un, puisque lors d’un procès, ils ont la possibilité de s’expliquer et avec de bons avocats, il n’y aurait pas eu beaucoup de chances que le gouvernement soviétique l’emporte. De plus, lors d’un procès, il est beaucoup plus difficile d’éliminer nos ennemis, surtout lorsque l’on sait que ce serait une lourde perte pour la population de Russie. Deuxièmement, il voulait probablement montrer que cette révolution était différente des autres. L’ordre d’exécution a probablement été envoyé directement de la part de Lénine, un membre haut placé du gouvernement soviétique.
Si l’on suit cette thèse, le 16 juillet 1918, les princesses ainsi que la reine auraient été amenées à une destination inconnue et justement, plusieurs témoins affirment avoir vu la reine Alix et ses filles à Perm, entre Moscou et Lekaterinbourg… Elles auraient ensuite été déplacées en train dans la ville de Kiev. Par contre, personne n’avait vu le tsarévitch avec elles.
C’est à ce moment que l’on apprend que l’une des filles a disparu et selon certains, ce serait Anastasia. Suite à cet événement, ils affirment qu’on l’aurait retrouvé après sa tentative de suicide à Berlin.
Mais avant de continuer, je me dois de nuancer une information. En réalité, les tests ADN ont toujours été faits par des Anglais, ceux qui, dans le cas de la mort des Romanov, auraient hérité de tous leurs biens. C’est pour cette raison que plusieurs analystes pensent que les tests ADN seraient faussés. Toutefois, il faut également prendre en compte que ce sont des professionnels qui ont fait cette recherche approfondie.
Mais que serait devenu le reste de ses sœurs, de sa mère et de son petit frère?
En fait, deux grandes hypothèses sont possibles pour chacun des cas.
Premièrement, il y a celle de l’histoire officielle et deuxièmement, le fait qu’ils se soient construit une vie après. Plusieurs documents et témoignages démontrent qu’au moins deux des grandes-duchesses impériales auraient survécu des décennies, soit Maria et Olga, tandis que les autres, leur vie (si c’était le cas) aurait été plus courte ou tout simplement avec un nombre insuffisant de preuves pour différencier la vérité du mensonge.
Par exemple, le petit Alexis aurait eu une descendance dans l’Europe occidentale.
Maria aurait elle aussi habité en Europe occidentale et aurait changé de nom pour Comtesse Cecilia Czapska. Elle aurait eu deux filles qui lui auraient par la suite donné un petit-fils et après sa mort un arrière-petit-fils. Elle se serait mariée avec le prince ukrainien Nicolas Dolgorouki. À partir de 1920, en Europe de l’Ouest, la Reine Hélène d’Italie ordonna que le couple prenne le nom de Di Fonzo. En 1970, elle serait décédée laissant un testament pour son petit-fils Alexis-Durazzo dans lequel elle avouerait son identité. Le problème dans cette histoire, c’est que l’on peut trouver une tombe au cimetière Prima Porta de Flaminio au nord de Rome au nom de Maria Nicolaeivna Romanov Dolgorouki. Portant le corps de la vraie Maria qui a été retrouvé dans les bois en dehors de Lekaterinbourg…
Du côté d’Olga, elle aussi aurait peut-être survécu. En effet, des historiens possèdent une photo des prétendues sœurs Olga et Maria datant de 1957. Il n’y aurait eu que très peu de personnes qui auraient prétendu être la grande-duchesse Olga. Celle qui le fit s’appelait Marga Boodts et a gardé le contact avec Maria toute sa vie. Dans le testament de Maria, Alias Comtesse Cecilia, il y était révélé que Marga était bel et bien Olga, sa sœur… De plus, un cousin germain allemand (entre autres) confirma que c’était bien elle, suite à une discussion sur ses souvenirs d’enfance. Marga Boodts fut enterrée par la famille allemande des Romanov avec le commentaire: « En souvenir d’Olga Nicolaievna, fille aînée du tsar Nicolas ll, (1895-1976) ». Malheureusement, la tombe fut détruite en 1995.
Selon un ouvrage britannique de Frank Ferrand, Tatiana aurait été expédiée en Angleterre et aurait épousé un officier britannique sous le nom de Larissa Tudor. Toutefois, peu de preuves soutiennent cette thèse. D’un autre côté, il y en a plus qui soutiennent la possibilité qu’elle se trouvait bien à Perm à partir du 20 juillet avec ses sœurs et sa mère. Par la suite, elle aurait travaillé en Allemagne de 1945 à 1951 à la tête de camps de réfugiés avec le nom d’Alexandra Michaelis.
Pour ce qui est de la reine, elle a complètement disparu et aucune rumeur/hypothèse n’est généralement en lien avec elle.
En 1991, neuf corps sur onze ont été retrouvés dans une fosse commune dans les bois en dehors de Lekaterinbourg. Parmi ceux-ci, on retrouvait le médecin de la famille, leur cuisiner, leur valet et la dame de compagnie d’Alix ainsi que le tsar, la tsarine, Olga et Tatiana. Plusieurs débattent à propos des deux corps qui ont été retrouvés en 2007. Certains affirment qu’il manque celui de Maria et d’autres celui d’Anastasia. Dans les deux cas, celui du tsarévitch manque avec l’un des deux. Selon le médecin légiste Dr Williamsburg Maples, ce serait celui d’Anastasia. Cependant, un expert russe a affirmé que le crâne de Maria ne se trouvait pas dans ceux trouvés en 1991.
Dans tous les cas, les opinions divergent beaucoup sur cette hypothèse globale, c’est-à-dire qu’il n’y aurait eu que le tsar qui aurait été exécuté.
Conclusion
« J’ai toujours été hostile à la peine de mort, estimant qu’en aucun cas elle ne saurait constituer un acte de justice. »
De Jacques Chirac
L’histoire est l’un des éléments les plus essentiels pour avancer, tout comme l’erreur. C’est avec elle que nous avons pu exterminer l’esclavage, le racisme (dans certains pays), la dictature, etc. C’est aussi grâce à elle que comme l’exprime si bien Jacques Chirac, nous avons pu arrêter la peine de mort, parce qu’en aucun cas, c’est juste. C’est le fait de savoir que demain, quelque chose aura changé pour rendre notre monde meilleur qui nous fait avancer. Dans cet article, vous avez pu constater que l’injustice est partout, que les Romanov malgré la manière dont ils sont morts, sont décédés trop vite. Cela pourrait (la mort) nous arriver demain ou dans un an. Tout cela pour dire que la vie est trop courte pour ne pas en profiter.
« La vie est trop courte pour ne pas vivre ses rêves. »
Auteur(e) anonyme
Alice Fortin
Élève de secondaire 1
Collège d’Anjou